L’irrésistible comédie culte de Josiane Balasko ! Dans un bistrot miteux et désert en face d’une gare, Jacques Belin, l’animateur vedette un peu ringard du jeu télévisé “L’Affaire est dans le sac”, tombe sur Simone, une pauvre fille paumée qui sort de prison. Elle est naïve, populaire et haute en couleurs ; il se croit splendide, chic et “tendance”. Pour noyer leur solitude, ils se lancent malgré dans une folle nuit, rythmée par les élucubrations endiablées du barman, aussi collant que bavard, grand fan de Jacques. L’alcool aidant, Simone et Jacques vont s’apprivoiser, se confier, se réinventer, se rapprocher. Beaucoup… Un peu trop même… Après une telle nuit d’ivresse, le réveil dans l’appartement de Jacques sera forcément difficile, mémorable et explosif ! Il ne se souvient de rien, ni qui est cette fille survoltée et amoureuse installée chez lui, ni même d’avoir donné son adresse au barman qui évidemment ne loupe pas l’occasion de débarquer… Des répliques savoureuses, un trio délirant et improbable pour un pur moment de détente… à consommer sans modération ! Auteur : Josiane BALASKO Artistes : Karine KADI, Sylvain VANSTAEVEL et Stéphane LEVACHER

l'amour fait mal ?, La fin de l'amour), NEXT / Autopsy d'un massacre amoureux a pour point de départ une autopsie théâtralisée de la vie amoureuse d'Anne-Laure Thumerel, marquée de manière endémique par la rupture. Prise dans l'impasse du « nonamour », elle s'envisage elle-même comme un « cas d'école » du capitalisme émotionnel. Ce spectacle, point d'orgue de sa résidence longue à La Maison du Théâtre, réunira des éléments créés lors des œuvres processuelles et mettra un point final à la question infinie du : POURQUOI ? Peut-être sera-t-il possible de revenir sur le marché de la drague ? Peut-être faudra-t-il se contenter d'avoir juste demandé des explications ? Et finalement l'issue pour sortir des vieux schémas ne sera peut-être pas celle attendue et revendiquée. Au-delà de l'autopsy, le spectacle brosse ici le portrait d'une génération aux prises avec le capital, fut-il amoureux, parfois noyée dans les injonctions à aimer puis « nexter », mais, une génération lucide, inventive, combative, réfléchie et joyeuse. Anne-Laure Thumerel, artiste associée Compagnie L'Ensemble 21 Dans le cadre du festival Feminist Futures Théâtre / Création MTA Inspiré, entre autres, des travaux de la sociologue Eva Illouz (Les sentiments du capitalisme, Happycratie, Pourquoi Durée : 2h20 avec entracte

Vanasay Khamphommala, artiste régulièrement accueillie à la Maison, imagine un dialogue avec sa grand-mère disparue en 1944. Mêlant chant, rituels laotiens et récits familiaux, la performance explore mémoire et identité. Entre échos culturels et quête intime, le public, immergé dans un écosystème sonore, partage un rituel sensoriel inspiré du Baci. Un théâtre hybride, entre installation et sensations, pour renouer avec le passé. Spectacle en laotien et français surtitré en français DÈS 14 ANS

Philippe Torreton met en scène et interprète le texte emblématique de Jean Genet, qui avec cette prose adressée à un jeune acrobate signe un chant d’amour et une réflexion brûlante sur les enjeux de l’art. Le célèbre comédien s’aventure aujourd’hui au cœur des mots d’un poète de la marge qu’il n’avait jamais désiré lire mais qu’il a approché grâce à Jacques Maistre (dit Paillette), ancien acrobate devenu sculpteur qui connut Genet et lui conseilla de lire Le Funambule (1958). Un texte dédié à Abdallah Bentaga, funambule et compagnon de Genet qui se suicida quelques années après leur rupture. Enfant de l’Assistance publique, voleur fugitif qui passa de la prison aux ors de Gallimard, écrivain halluciné et transgressif, Genet attaqua violemment les repères du bien et du mal. C’est un incendiaire dont l’écriture « tour à tour lyrique et prosaïque, caressante et scarifiante, blesse, heurte » dit le comédien qui considère Le funambule comme, peut-être, le texte-étalon pour comprendre l’œuvre de Genet. Dans un cirque désolé d’une mortelle solitude, un musicien fantomatique, auquel donne voix le compositeur guitariste et pianiste Boris Boublil, un jeune acrobate alité qui en un rêve suspendu s’élève sur un fil, interprété par le fildefériste Julien Posada, et un homme qui parle, insaisissable, inconfortable, dérangeant. Philippe Torreton donne corps à sa présence. JEAN GENET Son premier roman Notre-Dame-des-Fleurs est publié en 1943, puis suivront Miracle de la rose (1946), Querelle de Brest (1947)… Poète, il a composé le Condamné à mort (1942), Un chant d’amour (1946)… Pour le théâtre il a écrit Les bonnes (1947), Elle (1955) jouée à la Comédie de Picardie, Le balcon (1956), Les paravents (1961)… Sa pièce inédite Héliogabale, écrite en 1942, a été publiée pour la première fois en 2024. DE : JEAN GENET CONCEPTION ET MISE EN SCÈNE : PHILIPPE TORRETON AVEC : PHILIPPE TORRETON (JEU), BORIS BOUBLIL (MUSIQUE), JULIEN POSADA (FIL DE FER) COMPOSITION MUSICALE : BORIS BOUBLIL CHORÉGRAPHIE : JULIEN POSADA SCÉNOGRAPHIE : RAYMOND SARTI LUMIÈRES : BERTRAND COUDERC COSTUMES : MARIE TORRETON COLLABORATION ARTISTIQUE : ELSA IMBERT ET MARIE TORRETON REGARD CHORÉGRAPHIQUE : DALILA CORTES Production MC2 : Maison de la Culture de Grenoble, Scène nationale Avec le soutien d’Archaos, Pôle National Cirque *Jeudi 30 janvier à 20h30 : représentation disponible en audiodescription

Le Grand Démontage est un hommage drôle et piquant aux métiers du théâtre. Une troupe de théâtre veut créer un spectacle qui va révolutionner le paysage… Ce soir-là, c’est la première. Mais au début du dernier acte, la consternation s’empare définitivement des spectateurs. C’est un ratage complet. Rien ne marche. Pour couronner le tout le directeur de la salle, furax et déçu, est tué accidentellement à l’issue du fiasco. Comment se débarrasser du corps tout en démontant le décor ? Et qui est ce type étrange qui rôde autour de la scène ? « Notre 40ème spectacle, une création sur mesure qui s’inspire de plusieurs décennies de vie de troupe, de nos controverses sur la création, la famille, la société, l’administration… Quand le spectacle est terminé, l’envers du décor, c’est encore le métier : décrocher les projecteurs, rouler les câbles, pousser les flight-cases, charger les camions, repartir. Et continuer d’y croire malgré le marasme ambiant et le temps qui passe… » Ici réalité et fiction s’entremêlent. Les acteurs jouent des acteurs et le théâtre est au centre, comme dans nos films bien-aimés To be or not to be d’Ernst Lubitsch ou Au beau milieu de l’hiver de Kenneth Branagh. Avec deux questions qui nous taraudent : « est-ce que se jouer soi-même, c’est encore du théâtre ? » et « le théâtre passera-t-il l’hiver ? » Production : Compagnie du Berger, Centre culturel Jacques Tati / Coréalisations : Le Chaudron – Scène des étudiants – Amiens, La Grange Ouverte – Saint-Martin en Vercors (26), Festival Grobiland – Marchampt (69), L’Escalier du Rire – Albert (80), La Véranda – Centre dramatique dramatique – Naours (80) / Soutiens : Amiens Métropole, Conseil départemental de la Somme, Région Hauts-de-France, ADAM Dès 12 ans Répétition public : mardi 21 janvier à 14h30, entrée libre

La Cordonnerie transpose le célèbre conte pour enfants dans la banlieue parisienne, à la veille de la chute du Mur de Berlin. Nous y suivons le quotidien d’Élisabeth, la « marâtre » – éducatrice malgré elle – et de sa belle fille « Blanche », adolescente gothique, plutôt écorchée. Ce joli monde cohabite dans la plus haute tour du royaume – une cité HLM à l’orée d’un bois. Comme un écho à la relation conflictuelle de ces deux héroïnes, la colère gronde de chaque côté du mur, à Berlin, durant l’été 1989. Cette réécriture de Blanche-Neige reprend les éléments phares du conte originel et restitue avec humour, l’intrigue, dans un contexte de guerre froide. Avec son théâtre mêlant images, bruitage et musique live, la fameuse compagnie de la Cordonnerie traite des non-dits au sein des familles recomposées et ne cesse pourtant d’enchanter le réel. Générique La Cordonnerie Voix, bruitages Samuel Hercule et Métilde Weyergans Piano, claviers : Timothée Jolly Batterie, percussions, guitare : Florie Perroud Création son : Adrian’ Bourget Régie son : Adrian’ Bourget / Eric Rousson Création lumières : Johannes Charvolin Régie lumières et régie générale : Sébastien Dumas / Ludovic Bouaud Régie plateau : Marylou Spirli Assistante à la mise en scène : Pauline Hercule Production, Administration : Anaïs Germain et Caroline Chavrier Film : Jeu : Valentine Cadic, Métilde Weyergans, Samuel Hercule, Quentin Ogier, Neil Adam, Jean-Luc Porraz, Alix Benezech, Vannina Furnion, Florie Perroud, Timothée Jolly… Assistant réalisation : Damien Noguer Chef opérateur : Aurélien Marra Décors : Marine Gatellier Costumes : Rémy Le Dudal Montage : Gwenaël Giard Barberin Production Production, Administration : Fanny Yvonnet, Caroline Chavrier et Anaïs Germain Production : La Cordonnerie. Coproductions : Théâtre de la Ville – Paris ; Le Manège de Reims – scène nationale ; Nouveau théâtre de Montreuil, centre dramatique national ; Théâtre de Villefranche-sur-Saône ; Maison des Arts Scène Nationale de Créteil et du Val de Marne ; Le Granit, scène nationale, Belfort ; Théâtre de St-Quentin-en-Yvelines, scène nationale.Avec l’aide de la SPEDIDAM. La Cordonnerie est soutenue par le Ministère de la Culture / DRAC Auvergne – Rhône-Alpes, la Région Auvergne – Rhône-Alpes, et la Ville de Lyon. Dès 8 ans

AMIENS EUROPE — FEMINIST FUTURES FESTIVAL – CIRQUE Collectif Mad / Galapiat Cirque Il y a dix ans, un groupe de copines, soudées par des années communes de formation en cirque, exilées et éloignées, décide de raconter en un spectacle leur Finlande natale. Le spectacle parle aussi du cirque, du choix d’une vie itinérante, du corps, de la technique poussée au plus haut niveau. Depuis, la Finlande a élu une femme Première ministre, les extrêmes ont gagné du terrain, Nokia — fierté nationale — n’est plus la marque de téléphone la plus vendue. Mais les sept sœurs de piste ont toujours la joie communicative, l’autodérision, la tendresse et l’énergie pour partager leur pays : la nuit polaire, les championnats en tout genre, le saut à ski, les forêts grouillantes de bûcherons, la passion finlandaise pour le sauna… Trapèzes, fil, tissu, rola bola, main à main et musique en direct composent ce récit en V.O. joyeux et généreux. Générique Collectif Mad / Galapiat Cirque Avec Elice Abonce Muhonen, Heini Koskinen, Jenni Kallo, Milla Lahtinen, Mirja Jauhiainen, Nelli Kujansivu, Sanja Kosonen, Teija Sotikoff Régie générale Gautier Gravelle Régie plateau Gautier Gravelle ou Luc Mainaud Régisseur lumière Nicolas Gastard Régisseur son Franck Beaumard Production Production Galapiat Cirque Diffusion L’Avant Courrier Avec le soutien de : La Cascade, Maison des arts du Clown et du Cirque, Bourg Saint Andéol (07) ; Arts Council of Finland ; La Comédie de Caen, Centre Dramatique National de Normandie (14) ; La Brèche, Pôle National des Arts du Cirque, Cherbourg Octeville (50). Dès 5 ans

AMIENS EUROPE — FEMINIST FUTURES FESTIVAL – PERFORMANCE Violaine Lochu Fable écoféministe, 8 feet dance est une performance « tentaculaire » mêlant polyphonie vocale, gestes chorégraphiques et arts visuels. Dans un futur indéterminé, une communauté de femmes-poulpes ayant survécu à un fort réchauffement climatique vit en autarcie. 8 feet dance donne à voir la vie quotidienne de ses membres, ponctuée de chants et de rites de préservation. À la fois écrite et improvisée, entre voix humaines et sons issus de l’univers marin, cette pièce explore l’ensemble du spectre vocal : sons glottiques, grondements, yodels… Une plongée dans l’ouïe jubilatoire, surprenante et d’une extrême drôlerie ! Retrouvez les œuvres de Violaine Lochu dans l’exposition « Codes dessinés : notations urbaines, écritures intimes ». en partenariat avec le frac picardie et drawing now paris. salle giacometti

""On ne devrait jamais révéler le prénom à ses proches avant que l'enfant soit là."" Vincent va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Elisabeth et Pierre, sa soeur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d'enfance. En attendant l'arrivée d'Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s'il a déjà choisi un prénom pour l'enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos. On ne devrait jamais révéler le prénom à ses proches avant que l'enfant soit là. Non par superstition mais parce qu'il s'ensuit toujours et invariablement une discussion acharnée  qui tourne à la fâcherie, voire au chaos. Auteur : Matthieu Delaporte, Alexandre De La Patellière Artistes : Louise Cassin, Julie Bernata, Loïc Lacoua, Auguste Lagdiri, Arthur Loisel Metteur en scène : Louise Cassin

MazelFreten Un hommage vibrant à la culture électro. Rave Lucid s'inspire de l'univers des battles et réutilise les codes de la danse électro pour développer une gestuelle spontanée, engagée et viscérale. Dans cette pièce, les dix interprètes rivalisent de vélocité et de virtuosité, tout en faisant bloc dans des chorégraphies de groupe exécutées en un ensemble parfait. Sur les rythmes effrénés d'une musique électro/house et techno, ils inventent une rave collective, symbole d'une rencontre humaine résistant à l'ère du virtuel. Intense et explosif ! 1ère partie : C'est sl-âme le monde ! — Performance slam à 19h La soirée n'est pas finie ! — DJ set après le spectacle, la fête jusqu'au bout / durée — 1h Initiation à la danse électro ! — Mercredi 29 janvier de 16h à 18h / à partir de 8 ans / sur inscription

PROGRAMME DU CONCERT Felix Mendelssohn Les Hébrides ou la Grotte de Fingal (ouverture) Robert Schumann Concerto pour piano en la mineur Ludwig van Beethoven Symphonie n°4 Éminent chef d’orchestre suisse et professeur de direction parmi les plus demandés au monde, Johannes Schlaefli a choisi un magnifique programme romantique pour la masterclass qu’il donnera au CNSM de Paris. Les puissants embruns maritimes de l’Ouverture des Hébrides (1832) précéderont en effet l’incroyable allégresse amoureuse qui emporte de bout en bout le Concerto pour piano en la mineur de Schumann. On sait que l’œuvre est vouée par toutes ses fibres à son épouse tant aimée, la pianiste Clara Schumann qui la créa à Leipzig le 1er janvier 1846. Ce qui nous amène à la Symphonie n°4 (1807) de Beethoven, réputée la plus « heureuse » des neuf symphonies, car contemporaine des « fiançailles » du compositeur avec Thérèse de Brunschwig. Mais on a surtout l’impression que, brouillant les pistes, le maître y expérimente de nouvelles énergies, d’autres dialectiques du sentiment. Le contraste entre la mystérieuse introduction lente et la vigueur enjouée du début de l’Allegro en est un exemple saisissant, tout comme l’énorme « marteau rythmique » qui hante la si pure mélodie de l’Adagio. DISTRIBUTION DU CONCERT Johannes Schlaefli : direction pédagogique Antonin Bonnet : piano Étudiants de la classe de direction du CNSMDP ENTRÉE GRATUITE SUR RÉSERVATION

Accompagnées par la compagnie professionnelle du Théâtre de l’Orage, quatre compagnies de notre territoire vous proposent un spectacle de leur répertoire : Chés démucheus (Brassy), Selle en scène (Plachy-Buyon), Tout à Trac (Airaines) et Le Forestel (Liomer). La programmation sera enrichie par la présence de deux autres compagnie de théâtre amateur: Troupe de l'Atelier Théâtre de Glisy et le Collectif des Emplumés ; ainsi que par deux groupes de musique : Mumble and the Bees et Darling Buds of May.

Origami : ou l’art du pliage. Je vois nos destins comme des origamis qui se plient à des choix, des joies et des peines, des victoires et des échecs... Pendant plus de 10 ans maintenant, je me suis plié en quatre pour essayer de vous plier en deux. Je me demande quelle forme aurait pris mon origami, mon destin, si je n'avais pas plié bagage de ma ville natale...

Anne Teresa De Keersmaeker, Meskerem Mees, Jean-Marie Aerts, Carlos Garbin / Rosas L’immense chorégraphe belge Anne Teresa De Keersmaeker offre ici une ode à la jeunesse flamboyante ! À l’opposé des contraintes et des devoirs, EXIT ABOVE remonte le courant de la pop occidentale à partir de la chanson Walking Blues du bluesman afro-américain Robert Johnson. La chorégraphe aborde la danse par un retour aux sources, au plus simple et naturel des mouvements : la marche, et son empreinte sur nos cultures musicales. À partir d’une écriture simple qui conquiert dans une originalité enivrante le temps et l’espace, cette démonstration de force se frotte aux styles de la house et du hip-hop dans un spectacle superbe à tout points de vue. Générique Chorégraphie Anne Teresa De Keersmaeker Musique Meskerem Mees, Jean-Marie Aerts, Carlos Garbin Musique interprétée par Meskerem Mees, Carlos Garbin Scénographie Michel François Lumière Max Adams Costumes Aouatif Boulaich Texte et paroles Meskerem Mees, Wannes Gyselinck Texte d’ouverture Über den Begriff der Geschichte, Thèse IX, de Walter Benjamin Dramaturgie Wannes Gyselinck Direction des répétitions Cynthia Loemij, Clinton Stringer Production Production Rosas Coproduction Concertgebouw Brugge (Bruges), De Munt / La Monnaie (Bruxelles), Internationaal Theater Amsterdam, Théâtre Garonne Scène européenne (Toulouse), Gie Fondoc Occitanie (Le Parvis Scène nationale de Tarbes, Scène nationale Albi Tarn, Le Cratère Scène nationale d’Alès, Scène nationale Grand Narbonne, Théâtre Garonne) Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels Cette production est réalisée avec le soutien du Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge, en collaboration avec Casa Kafka Pictures. Rosas bénéficie du soutien de la Communauté flamande et de la Commission communautaire flamande (VGC).

Seul dans la pénombre de sa chambre, un fils convoque ses pères. Pas seulement son père, mais tous ceux qui l'ont fait rêver et grandir. Comment des icônes de la pop culture comme David Bowie, Prince, Roth, Mohammed Ali, Watts ou Christophe, ces figures productrices de rêves peuvent-elle aussi nous construire, nous et notre rapport au Monde ? Jonglant entre incarnations, récits intimes, chansons, textes, l'autofiction théâtrale prend ici tout son sens. Interroger sa propre mythologie, mieux s'incarner, se déconstruire pour mieux se reconstruire. Lucas Rahon, Compagnie Mordre ta joue

""1983"" pose la question de l'engagement et des luttes – raciales, ouvrières et médiatiques – des années 80 à nos jours. ""1983"" prend pour point de départ la marche pour l'égalité et contre le racisme partie le 15 octobre 1983 de Marseille. Initiée par un groupe de jeunes Français issus de l'immigration, elle arrive à Paris le 3 décembre où elle est accueillie par 100 000 personnes. François Mitterrand accède à une de leurs revendications, la carte de séjour de dix ans. En s'appuyant sur des témoignages et des enquêtes de terrain, Margaux Eskenazi et Alice Carré analysent dans ""1983"" la façon dont à ce court moment d'euphorie succéda une rupture entre la gauche et les quartiers populaires marqués par les crises à répétition dans les banlieues et la montée de l'extrême-droite. Poursuivez la soirée — on vous propose une dégustation et un petit concert avec le groupe Vibration 80, vous n'êtes pas au bout de vos surprises ! À partir de 13 ans Conception — Alice Carré et Margaux Eskenazi + Mise en scène — Margaux Eskenazi + Écriture — Alice Carré + Avec — Armelle Abibou, Salif Cisse ou Christophe Ntakabanyura, Pauline Jambet, Anissa Kaki, Kenza Laala, Malek Lamraoui, Yannick Morzelle ou Lazare Herson-Macarel, Raphaël Naasz ou Joseph Fourez

L'International Festival Ballet présente une féerie de beauté, d'élégance et de grâce. Une œuvre d'art accomplie accompagnée par l’orchestre live. Le ""Lac des cygnes"" est pour beaucoup synonyme de ballet. Ce conte romantique sur le jeune prince Siegfried, qui tombe amoureux de la princesse cygne Odette et veut la libérer du mauvais sort jeté par le duc Barbe-Rouge, est une histoire sur le pouvoir du véritable amour.  Cette pièce de ballet fait partie du répertoire standard de toutes les grandes compagnies. L'Allegro Moderato des danses du cygne du deuxième acte, en particulier, fait l'objet d'innombrables parodies dans la chorégraphie de Lev Ivanov et est donc connu sous le nom de ""danse des quatre petits cygnes"" bien au-delà du public amateur de ballet. En bref : une œuvre géniale d'un compositeur génial et qui attire le public depuis des siècles déjà. Le ""Lac des cygnes"" est présenté comme par magie sur scène par l'un des meilleurs ensembles de ballet classique, l'International Festival Ballet.  De plus, les décors grandioses du génial designer de théâtre Vjatscheslav Okunev, qui travaille entre autres pour le théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg et La Scala de Milan, les magnifiques costumes et l'élégance sans limite et la légèreté insouciante de ""l’International Festival Ballet"" garantissent une version rêveuse et féerique d'un ballet classique qui fascine encore après plus de 100 ans.  https://www.youtube.com/watch?v=krSk3QF2qAU

Le metteur en scène Franck Berthier a confié à Jean-Benoît Patricot l’écriture de son expérience d’un suicide assisté. Au-delà du mystère de la finitude, la partition se joue dans l’intensité du présent. Marie-Christine Barrault est lumineuse. Franck Berthier aborde dans cet opus la question de la fin de vie non pas pour plaider une cause et expliciter ses enjeux éthiques et juridiques, mais plutôt pour mettre en jeu et donner à ressentir l’expérience concrète d’un suicide assisté. En 2007, il a lui-même accompagné son amie la comédienne Maïa Simon qui avait choisi de partir mourir en Suisse. « Rarement je n’ai perçu autant de force vitale que lors de ces trois jours », confie-t-il. En auscultant les effets d’une telle déflagration sur les proches, la partition invite à saisir l’infinie valeur du présent et des liens qui unissent les êtres. « Voyage à Zurich pose la question frontale de comment faire, comment être, comment accepter et respecter un tel choix » précise le metteur en scène. Le voyage rassemble la comédienne Florence Klein (double théâtral de Maïa Simon), son fils, sa belle-fille et sa fidèle amie, elle aussi actrice. Dernier coucher de soleil, dernier dîner, dernière nuit… Florence les encourage à accepter son choix, à vivre pleinement, à se délester des tensions. Lumineuse, toujours juste, Marie-Christine Barrault interprète la comédienne qui s’apprête à quitter les siens dans une forme de détermination. « Si les adieux sont bien faits, le souvenir est plus riche », dit-elle. JEAN-BENOÎT PATRICOT Docteur en pharmacie, il décide de se consacrer à l’écriture et publie en 2008 son premier roman, Le roi c’est moi. Pour le théâtre il écrit PompierS (2016), Darius (2016) interprétée par Clémentine Célarié, Voyage à Zurich (2021) récompensé par le prix Emile Augier… En 2023 est jouée au festival d’Avignon sa pièce Agathe Royale avec Catherine Jacob. DE : JEAN-BENOÎT PATRICOT MISE EN SCÈNE : FRANCK BERTHIER AVEC : MARIE-CHRISTINE BARRAULT, ARBEN BAJRAKTARAJ, YANNICK LAURENT, MARIE-CHRISTINE LETORT ET MAGALIE GENOU ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE : ANAÏS LEGALL CRÉATION LUMIÈRE : MIREILLE DUTRIEVOZ UNIVERS SONORE : ERIC DUTRIEVOZ SCÉNOGRAPHIE : FRANCK BERTHIER COSTUMES : CLAIRE SCTHWARTZ CONSTRUCTION : EMMANUEL COELHO VIDÉO : TRISTAN BERTHIER Coproduction : Bonlieu scène nationale Annecy, Théâtre Maurice Novarina Thonon-les-Bains, Scène conventionnée d’Auxerre, Étoile de Jade Saint-brévin-les-Pins, La grande scène du Chesnay-Rocquencourt Avec le soutien de La ville d’Annecy, le département de la Haute-Savoie, Le belvédère des Alpes, La Région Auvergne-Rhône-Alpes, La Fondation Demains

Carnets de Galère d’Aiat Fayez / Fabrik Théâtre « Impressionnant ! » Télérama « Aussi sidérant de drôlerie que poignant. » Médiapart Un étudiant afghan débarque à l’université d’Amiens pour y faire des études de lettres et devenir traducteur. Bien vite, il est confronté à la solitude, aux regards, à la nostalgie, aux soucis administratifs qui le relancent sur les routes d’Europe, mais aussi aux rencontres et aux rebondissements qui font des vies d’exil, des aventures épiques et intemporelles. Dans ce seul en scène impressionnant de simplicité, le jeune acteur Marco Caraffa, dirigé par l’Amiénoise Christine Letailleur, incarne avec brio le texte d’Aiat Fayez, qui a fait de l’exil sa patrie. Ce tout petit spectacle, grand par son sujet et les territoires émotionnels qu’il traverse, ramène chaque spectateur à son exil intime, et souffle avec ferveur les braises de la fraternité. Production : Fabrik Théâtre – Compagnie conventionnée en Ile-de-France, Création Le 11 Avignon Juillet 2023 / Partenariats : Résidence artistique de la Filière (CFPTS), l’Esca-Studio d’Asnières Dès 14 ans

CIE CIRCOGRAPHIE Imaginée pour six jongleurs, la pièce explore les relations de groupe, et particulièrement les mécanismes de la pression sociale. Sur une musique électronique, les corps des danseurs-jongleurs se portent, se soutiennent, s’entremêlent jusqu’à agir comme un seul corps. Tantôt en coopération, tantôt en conflit, les jongleurs et danseurs de Fractures abordent la complexité de notre rapport au groupe et à nos différences. En interaction constante, le groupe devient l’extension de chacun, permettant à l’autre de réaliser ce qu’il ne ferait pas seul. Il est question de partage, de rencontre, de soutien et d’entraide, mais aussi de singularité et de différence : comment vivre ensemble tout en demeurant des individus ? Dans la fluidité de ce ballet « circographié », on entrevoit qu’il suffit de savoir jongler avec les circonstances et de vivre comme on danse. À partir de 8 ans Accueil et billetterie  Les mardis de 16h à 19h Les mercredis de 13h30 à 19h

Les hommes veulent du sexe, les femmes de l'amour. Et si c'était plutôt l'inverse ? À 40 ans, Marie rêve de changement, de voyages, d'imprévus... Vincent, lui, aime ses pantoufles, les Experts et les vacances à Valras-Plage. Et pour enfoncer le clou, entre Marie et Vincent, au lit, c'est pas la fête ! Et si la crise de la quarantaine n'était pas réservée qu'aux hommes... Une comédie tendre et surprenante qui répond à cette question : Est-ce que vibrer, c'est tromper ? Auteur(s) : Yanik Vabre Metteur en scène : Leslie Bévillard

Lectures, comptines et jeux de doigts au programme de ces histoires à destination des tout-petits pour les éveiller au plaisir de la lecture ! De 0 à 4 ans | Sur inscription

« Déjà trois jours sont passés depuis cette soirée mémorable, et toujours la musique retentit dans mes oreilles et dans mon cœur, et, juste à y penser, je ressens une vague d’émotions qui me serrent la poitrine. » Ainsi réagissait un des spectateurs privilégiés qui put assister à la première de La Création – Die Schöpfung, le 30 avril 1798 à Vienne. Depuis cette date, l’oratorio de Haydn n’aura cessé d’enthousiasmer tous les publics. Poème vocal et symphonique relatant les six premiers jours de la Genèse, on n’est pourtant pas là face à une musique religieuse ! Airs, récitatifs, chœurs et orchestre rivalisent d’images enchanteresses pour célébrer la naissance de la nature et de tous ses éléments, dans une œuvre d’une puissance visionnaire époustouflante. PROGRAMME Franz Joseph Haydn Die Schöpfung (La Création) 1H50 AVEC ENTRACTE

En septembre 2020, alors qu'elle est élève comédienne et en plein deuil amoureux, Solène Petit est amenée dans le cadre de sa formation à l'École du Nord, à partir sur les routes de France en sac à dos avec un projet personnel. Issue d'une famille de restaurateurs jurassiens, elle décide de faire un tour de France culinaire. Désir, féminité, nourriture, chair et chaire, deuil amoureux et viande deviennent le centre des questions qu'elle se pose durant son périple… Quel est donc le rapport entre patriarcat et une entrecôte ? Au plateau écriture gourmande, musicale, danse et chants donnent corps aux étapes du voyage de l'actrice. Solène Petit, Compagnie Mordre ta joue

Léonie la magicienne des ballons rêve de découvrir la mystérieuse île aux ballons. Accompagnée de son fidèle Max, la voilà partie dans un voyage magique, plein d’humour et de rencontres imprévues.  Au bout de leur aventure, ils arrivent enfin sur l’incroyable île et partagent leur bonheur avec les enfants. Spectacle enfant à partir de 3 ans, participatif pour les petits et les grands et tous ceux qui aiment les ballons sculptés.

Ouvert aux jeunes de 8 à 14 ans désireux de découvrir ou perfectionner la pratique du cirque, ce stage est encadré par l’équipe pédagogique de l’école du Cirque Jules Verne. Apprentissage des différentes disciplines (acrobatie, équilibre, aérien, danse et jeu d’acteur), visite exclusive du Cirque Jules Verne… voici une manière spectaculaire de passer les vacances de février ! À la fin du stage, les jeunes réaliseront une présentation pour vous montrer leurs nouveaux talents. Places limitées, ne tardez pas à inscrire vos enfants ! De 9h30 à 12h et de 13h30 à 16h.

Une première approche sensorielle autour d'une histoire pour s'ouvrir tout doucement au monde. Peinture préhistorique Pré-réservation en ligne : https://picardie-billet.for-system.com/z8501e3f68660x68660b70945_fr-Pour-les-0-3-ans-.aspx

Vous aviez raté le bébé concert des vacances d’automne ? Pas de problème, le voici de retour en ce creux d’hiver : que les petites oreilles viennent se réchauffer aux mélodies douces et entraînantes de ce court récital-régal concocté avec humour par les musiciens de l’Orchestre de Picardie. Pas de scène et de sièges, mais une grande salle pour se sentir libre de danser, de se réfugier dans les bras des adultes, ou de s’aventurer au plus près des instruments. 30 minutes pour parents, éducateurs, et tout-petits, entre papotages et ritournelles, pour partager une inoubliable toute première fois ! Attention pensez bien à arriver 15 minutes avant pour que l’entrée en musique se passe tout doucement. DE 0 À 3 ANS / SALLE JEAN VILAR

Lectures, comptines et jeux de doigts au programme de ces histoires à destination des tout-petits pour les éveiller au plaisir de la lecture ! De 0 à 4 ans Sur inscription

Le seul en scène musical. Pour revivre Wembley dans la tête de Jean-François. Jean-François a un don : il est le sosie de Freddie Mercury... en tout cas c'est ce qu'il pense... De son enfance difficile à sa vie d'adulte compliquée, Jean-François ne cache rien. Drôle, souvent musical et parfois émouvant, ce personnage simple va vous balader dans les recoins de son imagination transformant le moindre souvenir en chanson de Queen. Chaque année est un album, chaque mois une chanson, chaque semaine un refrain, chaque jour : un don de Queen ! Si Dieu sauve la reine, Queen sauve Jean-François ! De l'humour, de l'émotion, du chant, du piano, des lumières exceptionnelles, une écriture juste et touchante, un jeu de comédien au sommet de son art, tout est présent dans ce spectacle pour vivre un moment inoubliable. Auteur(s) et Artiste(s) : Thierry Margot Metteur en scène : David Furlong

Évènements culturels près de Guizancourt

Les évènements culturels autour de la ville de Guizancourt

Liste des 187 événements culturels les plus proches de Guizancourt

Sources des informations